Les géants américains misent sur la vidéo
Suite au récent échec des négociations visant à permettre à Yahoo! de racheter Dailymotion, les commentaires vont bon train dans la presse. Bien entendu, le réflexe nationaliste fait l'objet de nombreux commentaires. Mais si le sujet interpelle, c'est également car il s'agit d'un secteur extrêmement porteur. Le PDG de Dailymotion révèle ce jour sur www.lemonde.fr que la stratégie de Yahoo! est d'investir massivement dans la vidéo (lire l'article).
La vidéo est en train de devenir un enjeu considérable, tout le monde le sait. Il s'agit d'un des supports les plus diffusés et les plus consultés sur le web, avec une croissance phénoménale, mêlant vidéos amateurs et vidéos professionnelles. Dans les deux cas, il s'agit de supports publicitaires incroyablement performants... De fait, la qualité technique n'a plus le même sens qu'il y a encore quelques années, lorsque la télévision régnait en maître absolu.
De parfaits inconnus sont aujourd'hui devenus "des supports publicitaires" extrêmement performants" (Norman fait des vidéos, Cyprien, etc.), avec des millions de vues enregistrées.
L'enjeu aujourd'hui, c'est de pouvoir diffuser des vidéos sur ses supports, qui que l'on soit. De la plus petite entreprise à la grosse multi-nationale, le besoin est énorme. Et ce besoin est croissant. Il faut donc produire et il faut monter ces vidéos. Si l'auto-production et les idées intelligentes permettent à de nombreuses entreprises de trouver des solutions, la post-production et le montage constituent le plus souvent un sérieux problème.
Car la qualité du montage et de l'habillage graphique font la différence entre une vidéo moyenne et une vidéo réussie. Cela se joue sur le rythme global, la qualité de la musique, la fluidité, la capacité à scénariser et à raconter une histoire dont le format colle aux habitudes de consommation que nous avons tous.
Si la vidéo sur Internet n'en est qu'à ses débuts, nos habitudes de consommation des formats vidéo sont profondément ancrées dans nos cerveaux. Les dernières décennies nous ont consciemment et (le plus souvent) inconsciemment habitués à une grande qualité de contenus. Ceux qui s'aventurent à réaliser des vidéos de qualité médiocre ont souvent la mauvaise surprise d'être fermement critiqués sur Internet et de subir les foudres de ceux qui attendent mieux des marques qu'ils suivent. Pour ceux qui veulent de la qualité, il faut souvent sortir le portefeuille. Et là, ça fait mal.
Le montage vidéo est à un tournant et la mutation s'accélèrera rapidement avec les investissements faits par les géants américains tels que Google ou Yahoo!. Ils se positionnent comme les premiers diffuseurs internationaux, là où la télévision n'a qu'un rayonnement national. Ils ont réinventé la publicité, et gageons que la qualité du contenu est ce qui fera la différence entre les marques dans cette compétition d'un nouveau genre qui s'annonce.
La vidéo est en train de devenir un enjeu considérable, tout le monde le sait. Il s'agit d'un des supports les plus diffusés et les plus consultés sur le web, avec une croissance phénoménale, mêlant vidéos amateurs et vidéos professionnelles. Dans les deux cas, il s'agit de supports publicitaires incroyablement performants... De fait, la qualité technique n'a plus le même sens qu'il y a encore quelques années, lorsque la télévision régnait en maître absolu.
De parfaits inconnus sont aujourd'hui devenus "des supports publicitaires" extrêmement performants" (Norman fait des vidéos, Cyprien, etc.), avec des millions de vues enregistrées.
L'enjeu aujourd'hui, c'est de pouvoir diffuser des vidéos sur ses supports, qui que l'on soit. De la plus petite entreprise à la grosse multi-nationale, le besoin est énorme. Et ce besoin est croissant. Il faut donc produire et il faut monter ces vidéos. Si l'auto-production et les idées intelligentes permettent à de nombreuses entreprises de trouver des solutions, la post-production et le montage constituent le plus souvent un sérieux problème.
Car la qualité du montage et de l'habillage graphique font la différence entre une vidéo moyenne et une vidéo réussie. Cela se joue sur le rythme global, la qualité de la musique, la fluidité, la capacité à scénariser et à raconter une histoire dont le format colle aux habitudes de consommation que nous avons tous.
Si la vidéo sur Internet n'en est qu'à ses débuts, nos habitudes de consommation des formats vidéo sont profondément ancrées dans nos cerveaux. Les dernières décennies nous ont consciemment et (le plus souvent) inconsciemment habitués à une grande qualité de contenus. Ceux qui s'aventurent à réaliser des vidéos de qualité médiocre ont souvent la mauvaise surprise d'être fermement critiqués sur Internet et de subir les foudres de ceux qui attendent mieux des marques qu'ils suivent. Pour ceux qui veulent de la qualité, il faut souvent sortir le portefeuille. Et là, ça fait mal.
Le montage vidéo est à un tournant et la mutation s'accélèrera rapidement avec les investissements faits par les géants américains tels que Google ou Yahoo!. Ils se positionnent comme les premiers diffuseurs internationaux, là où la télévision n'a qu'un rayonnement national. Ils ont réinventé la publicité, et gageons que la qualité du contenu est ce qui fera la différence entre les marques dans cette compétition d'un nouveau genre qui s'annonce.